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il y a 1 an
Chapitre 70 : D’ébats lesbiens
Entourant les trois vendeuses, Les dominatrices jouèrent de leur corps, de leurs mains et de leur bouche pour exciter ces jeunes femmes, tandis que ces dernières, m’entourant, perdaient de leur concentration. Les mains agiles des maîtresses accélérèrent leurs actions, devinrent plus efficace, approchant les vendeuses aux abords d’un précipice où la réalité et l’illusion se confondent, où l’esprit et le corps ne font qu’un, où sens et sensation se rejoignent.
Libéré de l’excitation que les vendeuses m’apportaient, je trouvais de bon ton de les remercier pareillement. Choisissant l’une d’elle, guidé par ce que je connaissais le mieux, je m’agenouillai et entrepris de ma bouche et de mes doigts d’explorer et de respectueusement glorifier le triangle de celle-ci.
Humide à l’excès, ouverte, désespérément suppliante, son sexe gonflé de plaisir réagit immédiatement à mes premiers coups de langue. Superficiellement, sans même la pénétrer par aucun de mes membres, les premiers soubresauts incontrôlables se déclenchaient. Ses mains cherchèrent à descendre pour se protéger. Ses jambes se dérobèrent. Ladyscar et Maîtresse Diane se concentrèrent sur elle. Trois contre une, le combat était inégal, alors que ses deux amies étaient aux prises chacune avec les deux autres dominatrices.
La vendeuse que nous avions choisie était rousse. Je ne savais pas si le goût particulier de sa chatte s’avérait en être la conséquence, mais cette nouveauté me donna un regain de plaisir. Et quand Ladyscar lui maintint et lui bloqua ses bras en arrière, me laissant tout loisir d’abroger ses dernières défenses, je ne m’en privai pas. Avec ses jambes, ma maîtresse parvint même à écarter celles de la vendeuse et à les maintenir ouvertes, m’offrant une vue, mais surtout une approche élargie où doigts et bouche agirent de concert.
Maîtresse Diane ne resta pas là à nous contempler. L’embrassant goulument, lui massant avec vigueur sa poitrine d’une main, elle n’hésita pas à lui tirailler le téton sur plusieurs centimètres. Le geste qui m’obnubila le plus, probablement dû à ma phobie, resta celui de sa seconde main qui lui obstruait et désobstruait les narines. Associé à ses embrassades, elle limitait la respiration de la vendeuse, contrôlant un essoufflement qui intensifiait ses orgasmes.
Car cette fois, expérience acquise, je ne pouvais douter de ce que je lui nantissais. Ses tremblements épileptiques, le liquide qui sortait de son sexe par à-coup et m’abreuvait comme la bonne soumise que j’étais, le prouvaient. Moins elle se contrôlait, plus elle résistait, plus je la poursuivais de mon travail de sape. Chaque orgasme la rendait plus docile, plus épuisée, perdant peu à peu le contact avec la réalité.
A nouveau elle m’humidifia. De moins en moins de liquide se répandait à chaque orgasme, comme si le réservoir se vidait annonçant une fin proche. Mais je la récusai, je voulais comme la première fois ne m’arrêter qu’aux suppliques. Plus exactement, lorsque mes maîtresses me le diront et, les connaissant, ce nouvel orgasme que je voyais poindre ne serait pas le dernier.
Lady Christine et Tata Marguerite masturbaient leur prise avec expérience et célérité. Surtout, elles les avaient orientées vers nous pour qu’elles bénéficient du spectacle. Leur intérêt ? Je ne le connaissais pas : Une menace, une promesse, une envie ? Quel était le message qu’elles voulaient leur livrer ? Nul doute que le spectacle accroissait, comme à leur binôme de dominatrices, une excitation palpable et odorifère.
Notre rousse devait offrir un spectacle affriolant, étirée par Ladyscar, étouffée par Maîtresse Diane, offerte aux tourments marathoniens que j’escomptai encore lui prodiguer.
Clitoris, anus, lèvres, tout ce qui pouvait être excité le fut progressivement, alternativement ou conjointement. Les deux ouvertures s’étaient agrandies et ce n’était plus un, ni deux, mais trois doigts que je pouvais maintenant y insérer.
Mon dieu, cela devenait des gouffres. Je n’aurai pas eu ma cage, je craignais que mon sexe y baigne sans n’y rencontrer aucune contrainte. Je n’avais pas connu beaucoup de femmes, mais aucune ne jouissait ainsi, dégoulinante, aux organes à la taille démultipliée.
Cela dura encore une vingtaine de minutes avant que les maîtresses ne s’arrêtent d’un coup. Je dus laisser cette fois ma compagne au milieu d’une excitation, un instant brutal, interrompu, impromptu, comme j’avais connu la veille au soir. Je ressentais sa frustration malgré les nombreux plaisirs préalables que je n’avais pas connus la veille.
Les maîtresses se rhabillèrent rapidement et m’aidèrent à réenfiler ma robe.
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Vous rouvrez dans cinq minutes, commenta simplement Tata Marguerite alors que ces dernières, allongées au sol, ne s’étaient pas encore remises, essayant de se finir pour obtenir cette dernière jouissance.
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J’ai déposé sur le comptoir les différents articles. Je les ferais prendre par un de mes domestiques.
Les trois vendeuses ne répondirent pas, ne s’habillaient pas. Elles reprenaient souffle et esprit, tout en se masturbant, le regard étrangement vide.
Nous sortîmes du magasin au moment où un couple voulût y entrer. Lady Christine enleva la pancarte de la porte et la posa sur une des étagères.
- C’est ouvert. Si vous cherchez une vendeuse, elles sont au fond du magasin près des cabines d’essayage. N’hésitez pas à les importuner. Elles sont particulièrement serviables, leur dit-elle en les faisant pénétrer dans la boutique et en leur indiquant la route.
Je charmai l’homme d’un grand sourire tandis que sa copine ne me regardait pas, conformément à des ordres que je ne supposais pas obsolètes. Je regrettais de ne pas connaître la suite de cette rencontre improbable entre ce jeune couple et les trois vendeuses encore nues, mais j’appréciai la méchanceté de Lady Christine, qui, pour une fois, ne s’exerçait pas à mon encontre.
- Retournons à la voiture, ordonna Maîtresse Diane, nous avons des invitées qui nous attendent.
J'espère ya Nathalie dans les invites | |
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